diff --git a/au-dela-de-la-penetration.html b/au-dela-de-la-penetration.html index 03aecb9..e33f037 100644 --- a/au-dela-de-la-penetration.html +++ b/au-dela-de-la-penetration.html @@ -90,7 +90,7 @@ styles, `#sidebar-checkbox` for behavior. -->

L'auteur vient préciser qu'il existe différentes sexualités, qu'avant tout une sexualité devrait être une rencontre, une écoute mutuelle, une recherche des plaisirs de chacun⋅e.

 

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La question est: u a t-il des pratiques obligatoires ? Si das un couple, la pénétration (ou toute autre pratique sexuelle) n'était pas (ou plus) possible (ou pas ou plus souhaitée) est-ce que "serait vraiment une tragédie ? Si ma compagne ne veut plus être pénétrée, si mon compagnon ne bande plus, est-ce forcement la fin du désir et du plaisir ? Ou bien est-ce l'occasion d'être créatifs ?

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La question est: y a t-il des pratiques obligatoires ? Si dans un couple, la pénétration (ou toute autre pratique sexuelle) n'était pas (ou plus) possible (ou pas ou plus souhaitée) est-ce que "ce serait vraiment une tragédie" ? Si ma compagne ne veut plus être pénétrée, si mon compagnon ne bande plus, est-ce forcement la fin du désir et du plaisir ? Ou bien est-ce l'occasion d'être créatifs ?

Il précise que parfois (souvent ?) la pénétration n'est pas une pratique qui procure du plaisir aux femmes, et que, parce que c'est un tabou, la pratique n'est pas vraiment remise en question.

 

@@ -116,7 +116,7 @@ styles, `#sidebar-checkbox` for behavior. -->   Le patriarcat règne. Souvent la pénétration reproduit la domination de l'homme sur la femme : l'homme tient la femme, son sexe est en elle, il décide et dirige.

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J’apprécie que l'analyse ne soit pas porté sur la question de la sexualité sans évoquer les problématiques féministes, qui en mon sens sont centrales.

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J’apprécie que l'analyse ne soit pas portée sur la question de la sexualité sans évoquer les problématiques féministes, qui en mon sens sont centrales.

 

En fait, l'homme préfère ne pas y penser. Plus exactement: il refuse de se penser comme un être pénétrable. Il est farouchement contre sa propre pénétration. Pourquoi ? Arès tout, si la pénétration peut apporter du plaisir aux femmes, elle peut plus sûrement encore en donner aux hommes. C'est un fait. L'anatomie masculine est dotée d'une prostate [...]. Cet organe est une zone puissamment érogène et une grande source de plaisir qui peut conduire à la jouissance et à l'éjaculation.

@@ -131,7 +131,7 @@ Le patriarcat règne. Souvent la pénétration reproduit la domination de l'homm

Leur angoisse étant de ne pas être assez homme, de ne pas correspondre au cliché viril. C'est bien ça l'enjeu pour certains : ils pénètrent pour ne pas risquer de mettre au jour leur propre désir d'avoir un doigt ou un gode dans l'anus, pour ne pas devenir un être pénétrable, c'est-à-dire, dans leur stupide esprit macho : une femme ou un homosexuel. Donc un dominé, un faible. Être considéré comme une femme ou un gay reste la grande peur des hétérosexuels.

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J'aime bien les « insultes » qui sont utilisées par Martin page : « Punaise de kalenbullar de plutonium », « punaise de tragédie », etc.

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J'aime bien les « insultes » qui sont utilisées par Martin page : « Punaise de kalenbullar de plutonium », « punaise de tragédie », etc. C'est mignon et c'est bien comme ça !

diff --git a/feeds/all-en.atom.xml b/feeds/all-en.atom.xml index 25ff9c8..34a999f 100644 --- a/feeds/all-en.atom.xml +++ b/feeds/all-en.atom.xml @@ -64,7 +64,7 @@ Deux fichiers sont importants, pour commencer : <code>control</code> <p>L'auteur vient préciser qu'il existe différentes sexualités, qu'avant tout une sexualité <em>devrait</em> être une rencontre, une écoute mutuelle, une recherche des plaisirs de chacun⋅e.</p> <p>&nbsp;</p> <blockquote> -<p>La question est: u a t-il des pratiques obligatoires ? Si das un couple, la pénétration (ou toute autre pratique sexuelle) n'était pas (ou plus) possible (ou pas ou plus souhaitée) est-ce que "serait vraiment une tragédie ? Si ma compagne ne veut plus être pénétrée, si mon compagnon ne bande plus, est-ce forcement la fin du désir et du plaisir ? Ou bien est-ce l'occasion d'être créatifs ?</p> +<p>La question est: y a t-il des pratiques obligatoires ? Si dans un couple, la pénétration (ou toute autre pratique sexuelle) n'était pas (ou plus) possible (ou pas ou plus souhaitée) est-ce que "ce serait vraiment une tragédie" ? Si ma compagne ne veut plus être pénétrée, si mon compagnon ne bande plus, est-ce forcement la fin du désir et du plaisir ? Ou bien est-ce l'occasion d'être créatifs ?</p> </blockquote> <p>Il précise que parfois (souvent ?) la pénétration n'est pas une pratique qui procure du plaisir aux femmes, et que, parce que c'est un tabou, la pratique n'est pas vraiment remise en question. </p> <p>&nbsp;</p> @@ -90,7 +90,7 @@ Deux fichiers sont importants, pour commencer : <code>control</code> &nbsp; Le patriarcat règne. Souvent la pénétration reproduit la domination de l'homme sur la femme : l'homme tient la femme, son sexe est en elle, il décide et dirige.</p> </blockquote> -<p>J’apprécie que l'analyse ne soit pas porté sur la question de la sexualité sans évoquer les problématiques féministes, qui en mon sens sont centrales.</p> +<p>J’apprécie que l'analyse ne soit pas portée sur la question de la sexualité sans évoquer les problématiques féministes, qui en mon sens sont centrales.</p> <p>&nbsp;</p> <blockquote> <p>En fait, l'homme préfère ne pas y penser. Plus exactement: il refuse de se penser comme un être pénétrable. Il est farouchement contre sa propre pénétration. Pourquoi ? Arès tout, si la pénétration peut apporter du plaisir aux femmes, elle peut plus sûrement encore en donner aux hommes. C'est un fait. L'anatomie masculine est dotée d'une prostate [...]. Cet organe est une zone puissamment érogène et une grande source de plaisir qui peut conduire à la jouissance et à l'éjaculation. </p> @@ -105,7 +105,7 @@ Le patriarcat règne. Souvent la pénétration reproduit la domination de l'homm <blockquote> <p>Leur angoisse étant de ne pas être assez homme, de ne pas correspondre au cliché viril. C'est bien ça l'enjeu pour certains : ils pénètrent pour ne pas risquer de mettre au jour leur propre désir d'avoir un doigt ou un gode dans l'anus, pour ne pas devenir un être pénétrable, c'est-à-dire, dans leur stupide esprit macho : une femme ou un homosexuel. Donc un dominé, un faible. <strong>Être considéré comme une femme ou un gay reste la grande peur des hétérosexuels</strong>.</p> </blockquote> -<p>J'aime bien les « insultes » qui sont utilisées par Martin page : « Punaise de kalenbullar de plutonium », « punaise de tragédie », etc.</p>La conjuration des égos2020-01-01T00:00:00+01:002020-01-01T00:00:00+01:00Aude Vidaltag:blog.notmyidea.org,2020-01-01:/la-conjuration-des-egos.html<h1 id="le-feminisme-entre-intime-et-politique">Le féminisme, entre intime et politique</h1> +<p>J'aime bien les « insultes » qui sont utilisées par Martin page : « Punaise de kalenbullar de plutonium », « punaise de tragédie », etc. C'est mignon et c'est bien comme ça !</p>La conjuration des égos2020-01-01T00:00:00+01:002020-01-01T00:00:00+01:00Aude Vidaltag:blog.notmyidea.org,2020-01-01:/la-conjuration-des-egos.html<h1 id="le-feminisme-entre-intime-et-politique">Le féminisme, entre intime et politique</h1> <p>&nbsp;</p> <blockquote> <p>Privées de paroles, privées d'espace, les femmes sont aussi d'une certaine manière privées de leur corps. C'est ainsi qu'est décrit le rapport des petites filles à leur corps par des sportives qui notent la faible amplitude d'un geste, un bras qui ne va pas …</p></blockquote><h1 id="le-feminisme-entre-intime-et-politique">Le féminisme, entre intime et politique</h1> diff --git a/feeds/all.atom.xml b/feeds/all.atom.xml index 57c2f6d..d328a10 100644 --- a/feeds/all.atom.xml +++ b/feeds/all.atom.xml @@ -64,7 +64,7 @@ Deux fichiers sont importants, pour commencer : <code>control</code> <p>L'auteur vient préciser qu'il existe différentes sexualités, qu'avant tout une sexualité <em>devrait</em> être une rencontre, une écoute mutuelle, une recherche des plaisirs de chacun⋅e.</p> <p>&nbsp;</p> <blockquote> -<p>La question est: u a t-il des pratiques obligatoires ? Si das un couple, la pénétration (ou toute autre pratique sexuelle) n'était pas (ou plus) possible (ou pas ou plus souhaitée) est-ce que "serait vraiment une tragédie ? Si ma compagne ne veut plus être pénétrée, si mon compagnon ne bande plus, est-ce forcement la fin du désir et du plaisir ? Ou bien est-ce l'occasion d'être créatifs ?</p> +<p>La question est: y a t-il des pratiques obligatoires ? Si dans un couple, la pénétration (ou toute autre pratique sexuelle) n'était pas (ou plus) possible (ou pas ou plus souhaitée) est-ce que "ce serait vraiment une tragédie" ? Si ma compagne ne veut plus être pénétrée, si mon compagnon ne bande plus, est-ce forcement la fin du désir et du plaisir ? Ou bien est-ce l'occasion d'être créatifs ?</p> </blockquote> <p>Il précise que parfois (souvent ?) la pénétration n'est pas une pratique qui procure du plaisir aux femmes, et que, parce que c'est un tabou, la pratique n'est pas vraiment remise en question. </p> <p>&nbsp;</p> @@ -90,7 +90,7 @@ Deux fichiers sont importants, pour commencer : <code>control</code> &nbsp; Le patriarcat règne. Souvent la pénétration reproduit la domination de l'homme sur la femme : l'homme tient la femme, son sexe est en elle, il décide et dirige.</p> </blockquote> -<p>J’apprécie que l'analyse ne soit pas porté sur la question de la sexualité sans évoquer les problématiques féministes, qui en mon sens sont centrales.</p> +<p>J’apprécie que l'analyse ne soit pas portée sur la question de la sexualité sans évoquer les problématiques féministes, qui en mon sens sont centrales.</p> <p>&nbsp;</p> <blockquote> <p>En fait, l'homme préfère ne pas y penser. Plus exactement: il refuse de se penser comme un être pénétrable. Il est farouchement contre sa propre pénétration. Pourquoi ? Arès tout, si la pénétration peut apporter du plaisir aux femmes, elle peut plus sûrement encore en donner aux hommes. C'est un fait. L'anatomie masculine est dotée d'une prostate [...]. Cet organe est une zone puissamment érogène et une grande source de plaisir qui peut conduire à la jouissance et à l'éjaculation. </p> @@ -105,7 +105,7 @@ Le patriarcat règne. Souvent la pénétration reproduit la domination de l'homm <blockquote> <p>Leur angoisse étant de ne pas être assez homme, de ne pas correspondre au cliché viril. C'est bien ça l'enjeu pour certains : ils pénètrent pour ne pas risquer de mettre au jour leur propre désir d'avoir un doigt ou un gode dans l'anus, pour ne pas devenir un être pénétrable, c'est-à-dire, dans leur stupide esprit macho : une femme ou un homosexuel. Donc un dominé, un faible. <strong>Être considéré comme une femme ou un gay reste la grande peur des hétérosexuels</strong>.</p> </blockquote> -<p>J'aime bien les « insultes » qui sont utilisées par Martin page : « Punaise de kalenbullar de plutonium », « punaise de tragédie », etc.</p>La conjuration des égos2020-01-01T00:00:00+01:002020-01-01T00:00:00+01:00Aude Vidaltag:blog.notmyidea.org,2020-01-01:/la-conjuration-des-egos.html<h1 id="le-feminisme-entre-intime-et-politique">Le féminisme, entre intime et politique</h1> +<p>J'aime bien les « insultes » qui sont utilisées par Martin page : « Punaise de kalenbullar de plutonium », « punaise de tragédie », etc. C'est mignon et c'est bien comme ça !</p>La conjuration des égos2020-01-01T00:00:00+01:002020-01-01T00:00:00+01:00Aude Vidaltag:blog.notmyidea.org,2020-01-01:/la-conjuration-des-egos.html<h1 id="le-feminisme-entre-intime-et-politique">Le féminisme, entre intime et politique</h1> <p>&nbsp;</p> <blockquote> <p>Privées de paroles, privées d'espace, les femmes sont aussi d'une certaine manière privées de leur corps. C'est ainsi qu'est décrit le rapport des petites filles à leur corps par des sportives qui notent la faible amplitude d'un geste, un bras qui ne va pas …</p></blockquote><h1 id="le-feminisme-entre-intime-et-politique">Le féminisme, entre intime et politique</h1> diff --git a/feeds/lectures.atom.xml b/feeds/lectures.atom.xml index 42c054c..cba2735 100644 --- a/feeds/lectures.atom.xml +++ b/feeds/lectures.atom.xml @@ -5,7 +5,7 @@ <p>L'auteur vient préciser qu'il existe différentes sexualités, qu'avant tout une sexualité <em>devrait</em> être une rencontre, une écoute mutuelle, une recherche des plaisirs de chacun⋅e.</p> <p>&nbsp;</p> <blockquote> -<p>La question est: u a t-il des pratiques obligatoires ? Si das un couple, la pénétration (ou toute autre pratique sexuelle) n'était pas (ou plus) possible (ou pas ou plus souhaitée) est-ce que "serait vraiment une tragédie ? Si ma compagne ne veut plus être pénétrée, si mon compagnon ne bande plus, est-ce forcement la fin du désir et du plaisir ? Ou bien est-ce l'occasion d'être créatifs ?</p> +<p>La question est: y a t-il des pratiques obligatoires ? Si dans un couple, la pénétration (ou toute autre pratique sexuelle) n'était pas (ou plus) possible (ou pas ou plus souhaitée) est-ce que "ce serait vraiment une tragédie" ? Si ma compagne ne veut plus être pénétrée, si mon compagnon ne bande plus, est-ce forcement la fin du désir et du plaisir ? Ou bien est-ce l'occasion d'être créatifs ?</p> </blockquote> <p>Il précise que parfois (souvent ?) la pénétration n'est pas une pratique qui procure du plaisir aux femmes, et que, parce que c'est un tabou, la pratique n'est pas vraiment remise en question. </p> <p>&nbsp;</p> @@ -31,7 +31,7 @@ &nbsp; Le patriarcat règne. Souvent la pénétration reproduit la domination de l'homme sur la femme : l'homme tient la femme, son sexe est en elle, il décide et dirige.</p> </blockquote> -<p>J’apprécie que l'analyse ne soit pas porté sur la question de la sexualité sans évoquer les problématiques féministes, qui en mon sens sont centrales.</p> +<p>J’apprécie que l'analyse ne soit pas portée sur la question de la sexualité sans évoquer les problématiques féministes, qui en mon sens sont centrales.</p> <p>&nbsp;</p> <blockquote> <p>En fait, l'homme préfère ne pas y penser. Plus exactement: il refuse de se penser comme un être pénétrable. Il est farouchement contre sa propre pénétration. Pourquoi ? Arès tout, si la pénétration peut apporter du plaisir aux femmes, elle peut plus sûrement encore en donner aux hommes. C'est un fait. L'anatomie masculine est dotée d'une prostate [...]. Cet organe est une zone puissamment érogène et une grande source de plaisir qui peut conduire à la jouissance et à l'éjaculation. </p> @@ -46,7 +46,7 @@ Le patriarcat règne. Souvent la pénétration reproduit la domination de l'homm <blockquote> <p>Leur angoisse étant de ne pas être assez homme, de ne pas correspondre au cliché viril. C'est bien ça l'enjeu pour certains : ils pénètrent pour ne pas risquer de mettre au jour leur propre désir d'avoir un doigt ou un gode dans l'anus, pour ne pas devenir un être pénétrable, c'est-à-dire, dans leur stupide esprit macho : une femme ou un homosexuel. Donc un dominé, un faible. <strong>Être considéré comme une femme ou un gay reste la grande peur des hétérosexuels</strong>.</p> </blockquote> -<p>J'aime bien les « insultes » qui sont utilisées par Martin page : « Punaise de kalenbullar de plutonium », « punaise de tragédie », etc.</p>La conjuration des égos2020-01-01T00:00:00+01:002020-01-01T00:00:00+01:00Aude Vidaltag:blog.notmyidea.org,2020-01-01:/la-conjuration-des-egos.html<h1 id="le-feminisme-entre-intime-et-politique">Le féminisme, entre intime et politique</h1> +<p>J'aime bien les « insultes » qui sont utilisées par Martin page : « Punaise de kalenbullar de plutonium », « punaise de tragédie », etc. C'est mignon et c'est bien comme ça !</p>La conjuration des égos2020-01-01T00:00:00+01:002020-01-01T00:00:00+01:00Aude Vidaltag:blog.notmyidea.org,2020-01-01:/la-conjuration-des-egos.html<h1 id="le-feminisme-entre-intime-et-politique">Le féminisme, entre intime et politique</h1> <p>&nbsp;</p> <blockquote> <p>Privées de paroles, privées d'espace, les femmes sont aussi d'une certaine manière privées de leur corps. C'est ainsi qu'est décrit le rapport des petites filles à leur corps par des sportives qui notent la faible amplitude d'un geste, un bras qui ne va pas …</p></blockquote><h1 id="le-feminisme-entre-intime-et-politique">Le féminisme, entre intime et politique</h1> diff --git a/feeds/martin-page.atom.xml b/feeds/martin-page.atom.xml index c403b81..8b4a689 100644 --- a/feeds/martin-page.atom.xml +++ b/feeds/martin-page.atom.xml @@ -5,7 +5,7 @@ <p>L'auteur vient préciser qu'il existe différentes sexualités, qu'avant tout une sexualité <em>devrait</em> être une rencontre, une écoute mutuelle, une recherche des plaisirs de chacun⋅e.</p> <p>&nbsp;</p> <blockquote> -<p>La question est: u a t-il des pratiques obligatoires ? Si das un couple, la pénétration (ou toute autre pratique sexuelle) n'était pas (ou plus) possible (ou pas ou plus souhaitée) est-ce que "serait vraiment une tragédie ? Si ma compagne ne veut plus être pénétrée, si mon compagnon ne bande plus, est-ce forcement la fin du désir et du plaisir ? Ou bien est-ce l'occasion d'être créatifs ?</p> +<p>La question est: y a t-il des pratiques obligatoires ? Si dans un couple, la pénétration (ou toute autre pratique sexuelle) n'était pas (ou plus) possible (ou pas ou plus souhaitée) est-ce que "ce serait vraiment une tragédie" ? Si ma compagne ne veut plus être pénétrée, si mon compagnon ne bande plus, est-ce forcement la fin du désir et du plaisir ? Ou bien est-ce l'occasion d'être créatifs ?</p> </blockquote> <p>Il précise que parfois (souvent ?) la pénétration n'est pas une pratique qui procure du plaisir aux femmes, et que, parce que c'est un tabou, la pratique n'est pas vraiment remise en question. </p> <p>&nbsp;</p> @@ -31,7 +31,7 @@ &nbsp; Le patriarcat règne. Souvent la pénétration reproduit la domination de l'homme sur la femme : l'homme tient la femme, son sexe est en elle, il décide et dirige.</p> </blockquote> -<p>J’apprécie que l'analyse ne soit pas porté sur la question de la sexualité sans évoquer les problématiques féministes, qui en mon sens sont centrales.</p> +<p>J’apprécie que l'analyse ne soit pas portée sur la question de la sexualité sans évoquer les problématiques féministes, qui en mon sens sont centrales.</p> <p>&nbsp;</p> <blockquote> <p>En fait, l'homme préfère ne pas y penser. Plus exactement: il refuse de se penser comme un être pénétrable. Il est farouchement contre sa propre pénétration. Pourquoi ? Arès tout, si la pénétration peut apporter du plaisir aux femmes, elle peut plus sûrement encore en donner aux hommes. C'est un fait. L'anatomie masculine est dotée d'une prostate [...]. Cet organe est une zone puissamment érogène et une grande source de plaisir qui peut conduire à la jouissance et à l'éjaculation. </p> @@ -46,4 +46,4 @@ Le patriarcat règne. Souvent la pénétration reproduit la domination de l'homm <blockquote> <p>Leur angoisse étant de ne pas être assez homme, de ne pas correspondre au cliché viril. C'est bien ça l'enjeu pour certains : ils pénètrent pour ne pas risquer de mettre au jour leur propre désir d'avoir un doigt ou un gode dans l'anus, pour ne pas devenir un être pénétrable, c'est-à-dire, dans leur stupide esprit macho : une femme ou un homosexuel. Donc un dominé, un faible. <strong>Être considéré comme une femme ou un gay reste la grande peur des hétérosexuels</strong>.</p> </blockquote> -<p>J'aime bien les « insultes » qui sont utilisées par Martin page : « Punaise de kalenbullar de plutonium », « punaise de tragédie », etc.</p> \ No newline at end of file +<p>J'aime bien les « insultes » qui sont utilisées par Martin page : « Punaise de kalenbullar de plutonium », « punaise de tragédie », etc. C'est mignon et c'est bien comme ça !</p> \ No newline at end of file