diff --git a/content/2019.06.27-ere-de-la-critique.md b/content/2019.06.27-ere-de-la-critique.md index 83e259f..825ddaf 100644 --- a/content/2019.06.27-ere-de-la-critique.md +++ b/content/2019.06.27-ere-de-la-critique.md @@ -1,5 +1,7 @@ # L'Ère de la critique +:status: draft + Peut-être est-ce dans toutes les sphères pareil ? On découvre, tout est génial : un nouveau monde qui s'explore, de nouvelles personnes, de nouveaux termes, de nouvelles envies. On apprécie se sentir pousser des ailes. On passe du temps à creuser ces nouveaux sillons. Et puis on cherche mieux, plus fort, plus surprenant. Il faut désormais analyser, comparer, trouver des critères pour classifier toutes ces découvertes, pour pouvoir continuer à chercher mieux. Encore. @@ -18,4 +20,4 @@ Doit-on baisser nos niveaux d'attente ? A quel endroit s'arrête le bien pour de En cherchant à intellectualiser nos ressentis, en cherchant à analyser ce que l'on *vit*, n'oublie-t-on pas d'aller puiser dans nos émotions ? En analysant *de trop*, ne nous privons nous pas de ressentir ? -Lorsque l'on vit une expérience (lire un livre, participer à un spectacle ou même boire une bière), notre approche peut *pré-cabler* notre cerveau pour faciliter ou inhiber certains ressentis. \ No newline at end of file +Lorsque l'on vit une expérience (lire un livre, participer à un spectacle ou même boire une bière), notre approche peut *pré-cabler* notre cerveau pour faciliter ou inhiber certains ressentis.