Perdre pied. Vertige, écroulement et densité. Bruit, solidité, bloc. On s’y perdrait.
Laisser la place, sauvage mais fragile. Une Île.
La place, pour qu’on s’enlasse il en faut beaucoup. Sans sans lasser, de ça. Là, c’est là, juste devant moi. Et de la place on en fait, comme on en fait plus.
Nous, au delà de l’eternel toi et moi d’ailleurs. On s’en abreuve, d’ailleurs. Ce toi qui laisse la place pour nourrir les amitiées. Pour les voir pousser et les laisser déborder.
Restera des pauses, de la place, et une glace dans laquelle se regarder. Vraiment, en détaillant les traits. Regarder comment ça réfléchit, et parfois donner à voir à ces amitiés. Pour qu’elles en restent. Ça c’est ce qu’il nous restera.
Les injonctions, qu’elles en restent là. Ici, c’est dans vos bras quand vous êtes dans les miens. Quand on voit au delà de tout ça.
Des matinées, des silences et de la densité. Le temps passe, passera. Qui occupe qui ? à quoi, et pourquoi?
Écouter. Oiseaux, ballade et soleil. Silence, fluidité, ouverture. On s’y retrouverait. Il nous restera ça.
Contraintes: utiliser « il nous restera ça », 30mn.