J’ai aussi appris très tôt que si l’État veut écraser un mouvement, il a recours à tous les moyens, à toutes les ressources qui sont à sa disposition d’une part pour réprimer, d’autre part pour diviser les opprimé·e·s. D’une main il frappe, de l’autre il cherche à assimiler. La peur est une de ses armes favorites pour produire conformise et consentement.

Un féminisme décolonial
par Françoise Vergès
Un livre qui vient questionner la posture colonialiste dans le féminisme