Carnets Web - noteshttps://blog.notmyidea.org/2014-11-20T00:00:00+01:00Le secret du bonheur2014-11-20T00:00:00+01:002014-11-20T00:00:00+01:00Alexis Métaireautag:blog.notmyidea.org,2014-11-20:/le-secret-du-bonheur.html<p>Un enfant demande à son père :</p>
<blockquote>
Dis papa, quel est le secret pour être heureux ?</blockquote>
<p>Sans dire un mot, le père demande à son fils de le suivre ;
Ils sortent de la maison, le père sur leur vieil âne et le fils suivant à pied.</p>
<p>Et les gens du village …</p><p>Un enfant demande à son père :</p>
<blockquote>
Dis papa, quel est le secret pour être heureux ?</blockquote>
<p>Sans dire un mot, le père demande à son fils de le suivre ;
Ils sortent de la maison, le père sur leur vieil âne et le fils suivant à pied.</p>
<p>Et les gens du village de dire :</p>
<blockquote>
Mais quel mauvais père qui oblige ainsi son fils d'aller à pied !</blockquote>
<p>Le lendemain ils sortent de nouveau.</p>
<p>Le père ayant installé son fils sur l'âne et lui marchant à côté.</p>
<p>Les gens du village dirent alors :</p>
<blockquote>
Quel fils indigne, qui ne respecte pas son vieux père et le laisse aller à pied !</blockquote>
<p>Le jour suivant, ils s'installent tous les deux sur l'âne avant de quitter la maison.
Les villageois commentèrent en disant :</p>
<blockquote>
Ils ne respectent pas leur bête à la surcharger ainsi !</blockquote>
<p>Le jour suivant, ils partirent en portant eux-mêmes leurs affaires, l'âne trottinant derrière eux.
Cette fois les gens du village y trouvèrent encore à redire :</p>
<blockquote>
Voilà qu'ils portent eux-mêmes leurs bagages maintenant ! C'est le monde à l'envers !</blockquote>
<p>De retour à la maison, le père dit à son fils :</p>
<blockquote>
Tu me demandais l'autre jour le secret du bonheur.
Peu importe ce que tu fais, il y aura toujours quelqu'un pour y trouver à redire.
Fais ce qui te plaît et là tu seras vraiment heureux.</blockquote>
Le revenu de base2013-10-03T00:00:00+02:002013-10-03T00:00:00+02:00Alexis Métaireautag:blog.notmyidea.org,2013-10-03:/le-revenu-de-base.html<iframe width="560" height="315" src="http://www.youtube.com/embed/-cwdVDcm-Z0"
frameborder="0" allowfullscreen></iframe><p>Quelques notes prises en visualisant le documentaire "le revenu de base".</p>
<ul class="simple">
<li>4 Allemands sur 10 travaillent.</li>
<li>3/10 (les enfants et jeunes)</li>
<li>2/10 retraite / rente</li>
<li>1/10 assurance chomage / AS</li>
<li>41% sont le fruit d'un travail rémunéré.</li>
</ul>
<p>Le revenu de base est inconditionnel.</p>
<p>Le marché du travail ne pourra …</p><iframe width="560" height="315" src="http://www.youtube.com/embed/-cwdVDcm-Z0"
frameborder="0" allowfullscreen></iframe><p>Quelques notes prises en visualisant le documentaire "le revenu de base".</p>
<ul class="simple">
<li>4 Allemands sur 10 travaillent.</li>
<li>3/10 (les enfants et jeunes)</li>
<li>2/10 retraite / rente</li>
<li>1/10 assurance chomage / AS</li>
<li>41% sont le fruit d'un travail rémunéré.</li>
</ul>
<p>Le revenu de base est inconditionnel.</p>
<p>Le marché du travail ne pourra pas suffire à toute la population. En refusant
l'idée du RDB, on est obligé de croire en la croissance économique.</p>
<p>Différence entre une approche qantitative du travail VS une approche sociale.</p>
<p>La croissance éco ≠ croissance de l'emploi.</p>
<p>Parallelle entre le RDB et la déclaration des droits de l'homme. "Et qui voudra
faire le sale boulot ?"</p>
<p>Utopie veut dire le "non lieu", le lieu qu'on à pas encore trouvé ici sur
terre, à part dans notre imaginaire.</p>
<p>Agriculture: Il y à 100 ans, qqn qui travaillait dans l'agriculture produisait assez pour
3 autres personnes. ajd un agriculteur produit assez pour 120 personnes, via
des machines énormes et à la rationalisation.</p>
<p>Rationalisation: moins d'emploi.</p>
<p>La condition de pouvoir refuser un travail est très importante.</p>
<div class="section" id="citations">
<h2>Citations</h2>
<blockquote>
<p>Le financmenet est acquis, la dificulté c'est la liberté</p>
<p class="attribution">—NA</p>
</blockquote>
<blockquote>
<p>Il faut en finir avec cette idée fausse, selon laquelle seul le travail
rémunéré constitue une contribution méritoire à la société, en réalité, c'est
souvent exactement l'inverse.</p>
<p class="attribution">—Katja Kipping, membre du parlement allemand.</p>
</blockquote>
<blockquote>
<p>Si les gens on déjà une sécurité matérielle, ils sont plus difficiles
à corrompre.</p>
<p class="attribution">—Katja Kipping</p>
</blockquote>
<blockquote>
<p>Soutenir les populations sans poser de condition. c'est un principe qui à la
longe, devra s'imposer. Mais il lui faudra d'abord affronter les droits et
privilèges dont on bénéficie aujourd'hui.</p>
<p class="attribution">—Anonyme.</p>
</blockquote>
<blockquote>
Si les revenus étaient uniquement lié au travail, il faudrait donner les plus
hauts revenus aux machines.</blockquote>
<p>Le sens de l'économie, c'est de libérer l'homme du travail Beaucoup de gens qui
ont une "place de travail", n'ont en réalité qu'une "place de revenu".</p>
</div>
<div class="section" id="chiffres">
<h2>Chiffres</h2>
<p>Un sondage à été effectué. La question est: "Si vous aviez un revenu de base,
est-ce que vous iriez encore travailler ?"</p>
<ul class="simple">
<li>~60% disent oui</li>
<li>30% répondent oui, mais plus à plein temps.</li>
<li>10% pour faire autre chose.</li>
</ul>
<p>Avec une question différente:</p>
<p>"Si on instaurait un revenu de base, est-ce que vous pensez que les autres
iraient travailler ?"</p>
<ul class="simple">
<li>~80% répondent non.</li>
</ul>
<p>C'est un changement aussi dans les modes d'éducation, on nous enseigne à être
"employable", et non pas à apprendre quelque chose qui nous interesse. Les gens
ont peur de ne pas trouver du travail.</p>
</div>
<div class="section" id="ressources">
<h2>Ressources</h2>
<ul class="simple">
<li>Le sens commun, Thomas Payne.</li>
<li>Peter Ulrich</li>
</ul>
</div>
<div class="section" id="comment-financer-le-rdb">
<h2>Comment financer le RDB</h2>
<p>Si l’on se fie à son produit intérieur brut (PIB), la France est aujourd’hui le
cinquième pays le plus riche du monde. En 2010, le revenu disponible (après
versement des pres- tations sociales et prélèvement des impôts directs) s’y
élevait à 1 276 euros par mois et par personne, adultes et enfants confondus.
Nous disposons donc de ressources suffisantes pour garantir à chaque individu 1
276 euros si l’on décidait d’opérer un partage strictement égalitaire. C’est
nettement plus que le seuil de pauvreté actuel, fixé en France à 60 % du revenu
médian (1), soit 960 euros par adulte. Qui peut le plus pouvant le moins, la
France a donc sans nul doute les moyens d’assurer à tous ses résidents un
revenu au moins égal au seuil de pauvreté.</p>
</div>
<div class="section" id="a-reculons-par-andre-gorz">
<h2>À Reculons, par André Gorz.</h2>
<p>(Paru dans le monde diplomatique de Juin 1990)</p>
<p><em>Proche de Jean-Paul Sartre, cofondateur, en 1964, du Nouvel Observateur, le
philosophe André Gorz (1923-2007) s’est converti progressivement à un
écosocialisme dont il est devenu l’un des principaux théoriciens. En 1990, dans
nos colonnes, sous le titre « Pourquoi la société salariale a besoin de
nouveaux valets », il formulait une critique de l’idéologie du travail qui
devait l’amener quelques années plus tard à se prononcer en faveur d’un revenu
d’existence.</em></p>
<p>Dans l’ensemble des pays capitalistes d’Europe, on produit trois à quatre fois
plus de richesses qu’il y a trente-cinq ans ; cette production n’exige pas
trois fois plus d’heures de travail, mais une quantité de travail beaucoup plus
faible. (...)</p>
<p>Nous sortons de la civilisation du travail, mais nous en sortons à reculons, et
nous entrons à reculons dans une civilisation du temps libéré, incapables de la
voir et de la vouloir, incapables donc de civiliser le temps libéré qui nous
échoit, et de fonder une culture du temps disponible et une culture des
activités choisies pour relayer et compléter les cultures techniciennes et
profes- sionnelles qui dominent la scène. (...)</p>
<p>Pour près de la moitié de la population active, l’idéologie du travail est
devenue une mauvaise farce ; l’identification au travail est désormais
impossible, car le système économique n’a pas besoin ou n’a pas un besoin
régulier de leur capacité de travail. La réalité que nous masque l’exaltation
de la « ressource humaine », c’est que l’emploi stable, à plein temps, durant
toute l’année et toute la vie active, devient le privilège d’une minorité.
Pour [les autres], le travail cesse d’être un métier qui intègre dans une
communauté productive et définit une place dans la société. Ce que le patronat
appelle « flexibilité » se traduit pour les salariés par la précarité. (...)</p>
<p>Que doit être une société dans laquelle le travail à plein temps de tous les
citoyens n’est plus nécessaire, ni économiquement utile ? Quelles priorités
autres qu’économiques doit-elle se donner ? Comment doit-elle s’y prendre pour
que les gains de productivité, les économies de temps de travail profitent à
tout le monde ? Comment peut-elle redistribuer au mieux tout le travail
socialement utile de manière à ce que tout le monde puisse travailler, mais
travailler moins et mieux, tout en recevant sa part des richesses socialement
produites ?</p>
<p>La tendance dominante est d’écarter ce genre de questions et de poser le
problème à l’envers : comment faire pour que, malgré les gains de productivité,
l’économie consomme autant de travail que par le passé ? Comment faire pour que
de nouvelles activités rémunérées viennent occuper ce temps que, à l’échelle de
la société, les gains de productivité libèrent ? A quels nouveaux domaines
d’activité peut-on étendre les échanges marchands pour remplacer tant bien que
mal les emplois supprimés par ailleurs dans l’industrie et les services
industrialisés ?</p>
<p>On connaît la réponse, pour laquelle les Etats-Unis et le Japon ont montré la
voie : le seul domaine dans lequel il est possible, en économie libérale, de
créer à l’avenir un grand nombre d’emplois, c’est celui des services aux
personnes. Le développement de l’emploi pourrait être illimité si l’on
parvenait à transformer en prestations de services rétribuées les activités que
les gens ont, jusqu’à présent, assumées chacun pour soi. Les économistes
parlent à ce sujet de « nouvelle croissance plus riche en emplois », de «
tertiarisation » de l’économie, de « société de services » prenant le relais de
la « société industrielle » (1). (...)</p>
<p>Le problème de fond auquel nous sommes confrontés est celui d’un au-delà de
l’économie et, ce qui revient au même, d’un au- delà du travail rémunéré. La
rationalisation économique libère du temps, elle continuera d’en libérer, et il
n’est plus possible, par conséquent, de faire dépendre le revenu des citoyens
de la quantité de travail dont l’économie a besoin. Il n’est plus possible, non
plus, de continuer à faire du travail rémunéré la source principale de
l’identité et du sens de la vie pour chacun.</p>
<p>La tâche d’une gauche, si gauche il doit y avoir, consiste à transformer cette
libération du temps en une liberté nouvelle et en des droits nouveaux : le
droit de chacun et de chacune de gagner sa vie en travaillant, mais en
travaillant de moins en moins, de mieux en mieux, tout en recevant sa pleine
part de la richesse socialement produite. Le droit, d’autre part, de travailler
de façon discontinue, intermittente, sans perdre durant les intermittences de
l’emploi le plein revenu – de manière à ouvrir de nouveaux espaces aux
activités sans but économique et à reconnaître à ces activités qui n’ont pas la
rémunération pour but une dignité et une valeur éminentes, tant pour les
individus que pour la société elle-même.</p>
</div>
Notes: Économie libidinale et économie politique2013-07-06T00:00:00+02:002013-07-06T00:00:00+02:00Alexis Métaireautag:blog.notmyidea.org,2013-07-06:/notes-economie-libidinale-et-economie-politique.html<p>Une enquete d'un cabinet de marketing american ARI qui pour la première fois en
2004 disait qu'on voyait aparaitre des "alter consommateurs", qui n'étaient pas
de gens qui consommaient moins, mais qui étaient des gens malheureux de
consommer. Et qui définissaient la consommation comme une dépendance et une
addiction.</p>
<p>Un …</p><p>Une enquete d'un cabinet de marketing american ARI qui pour la première fois en
2004 disait qu'on voyait aparaitre des "alter consommateurs", qui n'étaient pas
de gens qui consommaient moins, mais qui étaient des gens malheureux de
consommer. Et qui définissaient la consommation comme une dépendance et une
addiction.</p>
<p>Un autre comportement s'est développé: le modèle "collaboratif et contributif".
Ce modèle ne se repose pas sur la consommation mais sur l'implication et la
collaboration. Ce modèle est induit par internet, qui ne repose plus sur
l'opposition production / consommation.</p>
<p>Sur internet nous ne sommes pas des simples consommateurs, puisque vous êtes un
expéditeur / distributeur.</p>
<p>Le changement prduit par internet est le fait que les gens ne sont plus
simplement des consommateurs,mais sont également producteurs de contenus
/ viennent améliorer les contenus existants.</p>
<p>Note perso: quid du culte de la personalité qui en ressort ? Ce qu'il apelle
l'écologie relationelle ?</p>
<p>Quel est le manque que vient combler facebook par exemple ? Et quel est
l'impact que ces nouveaux réseaux ont sur les modèles relationels que l'ont
connait (famille, école, droit, etc.).</p>
<div class="section" id="citations">
<h2>Citations</h2>
<blockquote>
<p>Une révolution c'est le fait de faire une boucle est d'arriver au terme de
quelque chose. D'avoir clôt un cycle. La lune fait des révolutions aussi.</p>
<p>81% des Américains déclarent que le consumerisme est une plaie pour l'amérique
(d'après Juliet Score)</p>
</blockquote>
</div>
François Elie : Quelle école pour la société de l’information ?2013-06-14T00:00:00+02:002013-06-14T00:00:00+02:00Alexis Métaireautag:blog.notmyidea.org,2013-06-14:/francois-elie-quelle-ecole-pour-la-societe-de-linformation.html<p><a class="reference external" href="http://www.framablog.org/index.php/post/2013/06/11/francois-elie-education-conference">http://www.framablog.org/index.php/post/2013/06/11/francois-elie-education-conference</a></p>
<p>Quelques bouts selectionnés.</p>
<blockquote>
<p>Mais pourquoi continue t-on à enseigner des maths à des gens qui ne vont pas
les utiliser ? Ben évidemment c’est parce qu’on n’est pas dans une école de
l’initiation où les mathématiciens …</p></blockquote><p><a class="reference external" href="http://www.framablog.org/index.php/post/2013/06/11/francois-elie-education-conference">http://www.framablog.org/index.php/post/2013/06/11/francois-elie-education-conference</a></p>
<p>Quelques bouts selectionnés.</p>
<blockquote>
<p>Mais pourquoi continue t-on à enseigner des maths à des gens qui ne vont pas
les utiliser ? Ben évidemment c’est parce qu’on n’est pas dans une école de
l’initiation où les mathématiciens font ça entre eux et on n’est pas non plus
dans une école de l’apprentissage où l’école a pour but de donner un métier, un
bagage utilisable. L’école ne sert évidemment pas à ça. D’ailleurs heureusement
parce que sinon on n’enseignerait pas la philosophie qui ne sert à rien à part
fabriquer des profs de philosophie !</p>
<p>On n’a pas besoin de tableau numérique pour enseigner l’informatique elle-même
pour enseigner la science. De la même façon on n’a pas besoin de machine à
calculer pour enseigner les mathématiques. Évidemment ! On n’a pas besoin d’une
machine à calculer pour savoir faire une division. Au contraire, surtout pas !</p>
<p>Il faut cesser d’opposer l’enseignement de la programmation d’une part et
l’enseignement des usages, c’est important mais ça c’est l’école des maîtres et
des esclaves. Ce qu’il faut enseigner, vite et à tous, c’est la science, pas la
technologie ou l’usage. C’est en amont de la programmation, l’algorithmique.
C’est, en amont de telle instanciation, du codage, du chiffrement, la théorie,
quelque chose qui comme les maths n’ont besoin que d’une craie et d’un tableau
noir.</p>
<p>Ce n'est pas un hasard si le mot "numérique" à remplaçé le mot "informatique",
c'est qu'on voudrait nous faire croire qu'il n'y a pas besoin de l'apprendre.</p>
</blockquote>
Habitat collectif2012-12-28T00:00:00+01:002012-12-28T00:00:00+01:00Alexis Métaireautag:blog.notmyidea.org,2012-12-28:/habitat-collectif.html<p>Habiter à plusieurs, partager un lieu de vie, monter une communauté, changer
nos modes de vie et prendre plus de temps les uns pour les autres.</p>
<p>Ça fait réfléchir un peu quand même, non ? en tout cas ça marche chez moi.</p>
<p>Voilà quelques ressources qui peuvent être utiles si jamais …</p><p>Habiter à plusieurs, partager un lieu de vie, monter une communauté, changer
nos modes de vie et prendre plus de temps les uns pour les autres.</p>
<p>Ça fait réfléchir un peu quand même, non ? en tout cas ça marche chez moi.</p>
<p>Voilà quelques ressources qui peuvent être utiles si jamais vous aussi ça vous
titille:</p>
<ul class="simple">
<li><a class="reference external" href="http://www.habicoop.fr/IMG/pdf/Memoire_hbtat_coop_Vaulx-2.pdf">L’Habitat Coopératif : Solution au problème de responsabilisation sociale des
copropriétaires sur la commune de Vaulx en Velin
?</a> - mémoire REPIQUET Anne
2005.</li>
<li>Un bouquin à lire avec plein d'infos: <a class="reference external" href="http://www.ecosociete.org/t101.php">Vivre autrement</a> de Diana Leafe Christian.</li>
<li>…</li>
</ul>
Astuces SSH2012-12-27T00:00:00+01:002012-12-27T00:00:00+01:00Alexis Métaireautag:blog.notmyidea.org,2012-12-27:/astuces-ssh.html<div class="section" id="tunelling">
<h2>Tunelling</h2>
<p>Parce que je m'en rapelle jamais (tête de linote):</p>
<pre class="literal-block">
$ ssh -f hote -L local:lolnet.org:destination -N
</pre>
</div>
<div class="section" id="ssh-config">
<h2>.ssh/config</h2>
<p>(merci <a class="reference external" href="http://majerti.fr">gaston</a> !)</p>
<p>La directive suivante dans .ssh/config permet de sauter d'hôte en hôte
séparés par des "+"</p>
<pre class="literal-block">
Host *+*
ProxyCommand ssh $(echo %h | sed
's/+[^+]*$//;s/\([^+%%]*\)%%\([^+]*\)$/\2 -l \1/;s …</pre></div><div class="section" id="tunelling">
<h2>Tunelling</h2>
<p>Parce que je m'en rapelle jamais (tête de linote):</p>
<pre class="literal-block">
$ ssh -f hote -L local:lolnet.org:destination -N
</pre>
</div>
<div class="section" id="ssh-config">
<h2>.ssh/config</h2>
<p>(merci <a class="reference external" href="http://majerti.fr">gaston</a> !)</p>
<p>La directive suivante dans .ssh/config permet de sauter d'hôte en hôte
séparés par des "+"</p>
<pre class="literal-block">
Host *+*
ProxyCommand ssh $(echo %h | sed
's/+[^+]*$//;s/\([^+%%]*\)%%\([^+]*\)$/\2 -l \1/;s/:/ -p /')
PATH=.:\$PATH nc -w1 $(echo %h | sed 's/^.*+//;/:/!s/$/ %p/;s/:/ /')
</pre>
<p>On peut donc spécifier des "sauts" ssh du style:</p>
<pre class="literal-block">
ssh root@91.25.25.25+192.168.1.1
</pre>
<p>Ensuite on peut essayer de rajouter:</p>
<pre class="literal-block">
Host <label_pour_mon_serveur_privé>
user <monuser(root)>
IdentityFile <chemin vers ma clé ssh pour le serveur publique>
hostname ip_serveur_publique+ip_serveur_privé
</pre>
</div>
Notre dame des landes2012-12-27T00:00:00+01:002012-12-27T00:00:00+01:00Alexis Métaireautag:blog.notmyidea.org,2012-12-27:/notre-dame-des-landes.html<p>La lutte à Notre Dame des Landes ne fait pas du tout que commencer, mais il se
trouve que les médias se sont "emparés" de la question que très récemment,
depuis que JM Ayrault s'est retrouvé premier ministre.</p>
<p>Voici une sélection d'articles que j'ai trouvé pertinents, à partir de décembre …</p><p>La lutte à Notre Dame des Landes ne fait pas du tout que commencer, mais il se
trouve que les médias se sont "emparés" de la question que très récemment,
depuis que JM Ayrault s'est retrouvé premier ministre.</p>
<p>Voici une sélection d'articles que j'ai trouvé pertinents, à partir de décembre
2012:</p>
<ul class="simple">
<li>Article dans le monde qui explique la complexité de la lutte sur place: <a class="reference external" href="http://www.lemonde.fr/idees/article/2012/12/13/notre-dame-des-landes-une-resistance-qui-ne-se-laissera-pas-dicter-sa-conduite_1805511_3232.html">http://www.lemonde.fr/idees/article/2012/12/13/notre-dame-des-landes-une-resistance-qui-ne-se-laissera-pas-dicter-sa-conduite_1805511_3232.html</a></li>
<li>autour de relations à la presse:
<a class="reference external" href="http://www.rennestv.fr/catalogue/magazine/notre-dame-des-landes-l-inaceptable-interdiction-de-la-presse.html">http://www.rennestv.fr/catalogue/magazine/notre-dame-des-landes-l-inaceptable-interdiction-de-la-presse.html</a></li>
<li>Notre-Dame-des-Landes : un pilote annonce un fiasco pour le futur aéroport <a class="reference external" href="http://www.bastamag.net/article2866.html">http://www.bastamag.net/article2866.html</a></li>
</ul>
Semences paysannes2012-12-20T00:00:00+01:002012-12-20T00:00:00+01:00Alexis Métaireautag:blog.notmyidea.org,2012-12-20:/semences-paysannes.html<p><a class="reference external" href="http://www.dailymotion.com/video/x5nhq0_les-semences-paysannes_news#from=embed">http://www.dailymotion.com/video/x5nhq0_les-semences-paysannes_news#from=embed</a></p>
<p>A l'heure actuelle, il est interdit pour deux agriculteurs de s'échangers des semences dans le but d'en revendre la production.</p>
<p>Les états ont crée la propriété interellectuelle pour relancer l'industrie après les dégats de la guerre et les selectionneurs en ont profité …</p><p><a class="reference external" href="http://www.dailymotion.com/video/x5nhq0_les-semences-paysannes_news#from=embed">http://www.dailymotion.com/video/x5nhq0_les-semences-paysannes_news#from=embed</a></p>
<p>A l'heure actuelle, il est interdit pour deux agriculteurs de s'échangers des semences dans le but d'en revendre la production.</p>
<p>Les états ont crée la propriété interellectuelle pour relancer l'industrie après les dégats de la guerre et les selectionneurs en ont profité en 1960 au sein de l'UPOV pour faire des textes pour s'approprié les selections qu'ils ont fait. Les textes ont été votés par les députés depuis: bien prové au lieu de bien collectif.</p>
<p>Les semenciers n'existent que depuis 150 ans. Ils revendiquent maintenant le monopole de selection.</p>
<p>Un catalogue est prévu pour les semences dites "de conservation" (alors qu'elles évoluent, conservation n'est pas un terme adapté). C'est la voie qui est possible pour pouvoir échanger des semences entre agriculteurs.</p>
<p>→ Quelles sont les semences de conservation depuis 2002 ? → Quid des semences paysannes, qui évoluent et que l'on garde d'année en année, en selectionnant les meilleures especes. → Existe-il un autre catalogue ? → Au niveau européen, quelles sontles contraintes d'inscription ? Gratuité demandée, qu'en est il ?</p>
<p>→ Relocalistion sur les terroirs des échanges.</p>
<p>→ Biodiversité serait tué par l'utilisation d'espèces inscrites.</p>
<p>Série de vidéos sur la paysannerie: <a class="reference external" href="http://www.latelevisionpaysanne.fr/video.php?lirevideo=86#86">http://www.latelevisionpaysanne.fr/video.php?lirevideo=86#86</a></p>