Alexis - Carnets en ligne - Noteshttps://blog.notmyidea.org/2017-12-29T00:00:00+01:00NEIPA #32017-12-29T00:00:00+01:002017-12-29T00:00:00+01:00Alexis Métaireautag:blog.notmyidea.org,2017-12-29:/neipa-3.html<p><em>Voici quelques prises durant un de mes brassins. L'idée est de pouvoir les relire et m'améliorer au fur et à mesure.</em></p>
<p>Test autour d'une New England Pale Ale; Cette fois ci avec du Mosaic et du Citra, durant une collab' avec Heiko.</p>
<h1 id="objectifs">Objectifs:</h1>
<ul>
<li>Brasser une nouvelle NEIPA en appliquant les …</li></ul><p><em>Voici quelques prises durant un de mes brassins. L'idée est de pouvoir les relire et m'améliorer au fur et à mesure.</em></p>
<p>Test autour d'une New England Pale Ale; Cette fois ci avec du Mosaic et du Citra, durant une collab' avec Heiko.</p>
<h1 id="objectifs">Objectifs:</h1>
<ul>
<li>Brasser une nouvelle NEIPA en appliquant les trouvailles des deux premières versions;</li>
<li>Hop stand de 40mn;</li>
<li>Contrôle du pH à 5.2;</li>
<li>Refroidissement dans l'évier;</li>
<li>Ajouter plus d'avoine;</li>
<li>Faire un mash out;</li>
<li>Augmenter un peu la quantité de grain.</li>
</ul>
<h1 id="recette">Recette:</h1>
<p>DI: 1055 (atteint)
pH: 5.2 (5.4 mesuré)</p>
<h2 id="grains">Grains:</h2>
<ul>
<li>75% de Pale Ale</li>
<li>12.5% de blé</li>
<li>12.5% flocons d'avoine</li>
</ul>
<h2 id="houblons">Houblons:</h2>
<ul>
<li>2g/L Mosaic (Hop Stand 40mn)</li>
<li>2g/L Citra (Hop Stand 40mn)</li>
<li>4g/L Citra à cru (en deux fois)</li>
<li>4g/L Mosaic à cru (en deux fois)</li>
</ul>
<h2 id="eau">Eau:</h2>
<ul>
<li>Utilisation d'eau de source, pour pouvoir corriger les sulfates / chlorures.</li>
<li>200 Chlorures pour 100 Sulfates.</li>
<li>
<h2 id="gypse-1g">Gypse: 1g</h2>
<dl>
<dd>1.8g (=4.05ml)</dd>
</dl>
</li>
<li>Acide lactique: 0.4ml</li>
</ul>
<h2 id="profil-dempatage">Profil d'empatage:</h2>
<ul>
<li>68°C durant 40mn;</li>
<li>75°C durant 10mn (mash-out)</li>
</ul>
<h2 id="levure">Levure</h2>
<ul>
<li>GigaYeast «Vermont Ale». Le nombre de cellules n'est pas indiqué sur le packaging, ni en ligne.</li>
</ul>
<h1 id="deroule">Déroulé</h1>
<ul>
<li>12h50: empâtage à 68°C</li>
<li>pH = 5.5. Ajout de 0.2 d'acide.</li>
<li>Pas mal de mesures du pH:<ul>
<li>5.2@23°C (13h05)</li>
<li>5.4@18°C (13h05)</li>
<li>5.2@27°C (13h15)</li>
<li>5.3@19°C (13h20)</li>
<li>5.4@25°C (13h30)</li>
</ul>
</li>
<li>13h33: Mash-out à 78°C durant 10mn</li>
<li>Test à l'iode: OK</li>
<li>14h11: 1er rincage. Densité premier mout: 1070</li>
<li>15h40: Hop Stand (15g Citra / 15g Mosaic)</li>
</ul>
<h1 id="fermentation">Fermentation</h1>
<ul>
<li>31/12/2017 - Fermentation à 20°C</li>
<li>01/01/2018 - Ajout de 12g de Citra et 12g de Mosaic après deux jours.</li>
<li>10/01/2018 - 1.040 SG = 1.008 corrigé</li>
<li>15/01/2018 - Ajout de 12g de Citra et 12g de Mosaic</li>
<li>15/01/2018 - Cold Crash</li>
<li>21/01/2018 - Mise en bouteille. Resucrage à 7g/L.</li>
</ul>
<h1 id="observations">Observations:</h1>
<ul>
<li>En mettant 1.5ml d'acide, si on mesure le pH de l'eau, il est à 3.5. Ça nous à pas mal effrayé, puisque on a pas trop l'habitude de monitorer le pH. On refait: 0.4ml d'acide = pH de 4.1. Au final, cela ne semble pas utile de mesurer le pH de l'eau avant de mettre son grain.</li>
<li>Je le savais déjà, mais travailler à deux en discutant n'est pas vraiment une bonne idée: sur les opérations un peu technique, un manque de concentration se fait tout de suite ressentir.</li>
<li>BeerSmith semble proposer un outil pour calculer les modifications de pH, je devrais l'utiliser la prochaine fois.</li>
<li>Baisser le ration d'empâtage: On s'est retrouvé avec beaucoup trop d'eau de rincage, alors qu'on était sur une bière assez faible en densité.</li>
<li>Au final, ajouter l'acide au départ est problématique pour le pH de l'eau qui baisse énormement. Après quelques recherches, il semble qu'il faille faire confiance au logiciel, et prendre une seule mesure de pH à 10mn (cela devrait être stable). Le pHmetre est aussi peut-être en cause.</li>
<li>D'une manière générale, j'ai l'impression d'être un peu à l'arrache sur la partie fermentation. Il faudrait vraiment que j'ai un plan et que je m'y tienne. Plusieurs questions me semblent encore à résoudre: combien de temps laisser le houblon à cru ? A quelle température ?</li>
</ul>NEIPA #22017-12-18T00:00:00+01:002017-12-18T00:00:00+01:00Alexis Métaireautag:blog.notmyidea.org,2017-12-18:/neipa-2.html<p><em>Voici quelques prises durant un de mes brassins. L'idée est de pouvoir les relire et m'améliorer au fur et à mesure.</em></p>
<h1 id="objectifs">Objectifs</h1>
<ul>
<li>Corriger les erreurs du précédent brassin.</li>
<li>Éviter les soucis de filtration</li>
<li>Mieux corriger le pH</li>
<li>Faire un whirlpool digne de ce nom / avoir moins de trub dans le …</li></ul><p><em>Voici quelques prises durant un de mes brassins. L'idée est de pouvoir les relire et m'améliorer au fur et à mesure.</em></p>
<h1 id="objectifs">Objectifs</h1>
<ul>
<li>Corriger les erreurs du précédent brassin.</li>
<li>Éviter les soucis de filtration</li>
<li>Mieux corriger le pH</li>
<li>Faire un whirlpool digne de ce nom / avoir moins de trub dans le fermenteur</li>
<li>Ne pas se laisser avoir par la baisse de température durant l'empâtage.</li>
</ul>
<h1 id="recette">Recette</h1>
<p>DI: 1060 (1050 mesuré)
pH: 5.2 (atteint)</p>
<h2 id="grains">Grains</h2>
<ul>
<li>90% Pils</li>
<li>10% Flocons d'avoine</li>
</ul>
<h2 id="houblons">Houblons</h2>
<ul>
<li>2g/L Wakatu (au Whirlpool)</li>
<li>2g/L Motueka (au Whirlpool)</li>
<li>4.5g/L Wakatu à cru (en deux fois)</li>
<li>2.5g/L Motueka à cru (en deux fois)</li>
</ul>
<h2 id="eau">Eau</h2>
<ul>
<li>Utilisation d'eau de source, pour pouvoir corriger les sulfates / chlorures.</li>
<li>200 Chlorures pour 100 Sulfates.</li>
<li>Gypse: 0.9g</li>
<li>CaCl2: 3.4g</li>
<li>Acide lactique: Au batch précédent, j'avais mesuré 5.6, donc: ajout de +2ml d'acide (=2.4g).</li>
<li>Utilisation d'Irish Moss (2g) pour coaguler les protéines.</li>
</ul>
<h2 id="profil-dempatage">Profil d'empatage</h2>
<ul>
<li>65°C durant 90mn (68°C au départ, 65 visé)</li>
<li>78°C durant 10mn (mash-out)</li>
</ul>
<h2 id="levure">Levure</h2>
<ul>
<li>London Ale III.</li>
</ul>
<h1 id="deroule">Déroulé</h1>
<ul>
<li>18h36 - empatage à 65°C</li>
<li>19h16- pH = 5.2</li>
<li>Densité 1er moût: 1070</li>
<li>Ébullition importante pour atteindre 6,2L avec la bonne densité.</li>
<li>Mash-out à 78°C durant 10mn</li>
<li>Test à l'iode: NOK</li>
<li>1er rincage. Densité premier mout: 1070</li>
<li>15h40: Hop Stand (15g Citra / 15g Mosaic)</li>
</ul>
<h1 id="fermentation">Fermentation</h1>
<ul>
<li>18/12/2017 - Fermentation à 18°C</li>
<li>21/12/2017 - Ajout de 13.5g de Wakatu et 7.5g de Motueka</li>
<li>30/12/2017 - Ajout de 13.5g de Wakatu et 7.5g de Motueka</li>
<li>30/12/2017 - Passage à 10°C.</li>
<li>15/01/2018 - Cold Crash</li>
<li>21/01/2018 - Mise en bouteille. Resucrage à 7g/L.</li>
</ul>
<h1 id="observations">Observations:</h1>
<ul>
<li>Je change de technique, et mets l'acide lactique directement dans l'eau.</li>
<li>Je concasse moins fin mais reteste quand même l'avoine. Aucun souci de filtration (mais l'avoine n'est pas concassé).</li>
<li>1g de CaCl2 ~= 2.25ml en solution à 33%.</li>
<li>Les deux thermomètres n'affichent pas la même température. Super :(.</li>
<li>Au final, j’empâte dans une casserole pour pouvoir faire un mash-out.</li>
<li>Le pH oscille pas mal durant l'empâtage. J'ai mesuré des pH de 4.9 à certains moments, mais au final la dernière lecture est de 5.2, ce qui me semble bon.</li>
<li>Le système que j'utilise (refroidisseur en cuivre) pour refroidir mon moût n'est pas génial parce que ça mélange pas mal ce qu'on veut voir se déposer au fond de la cuve. Refroidir directement dans l'évier est vachement plus simple (c'est pratique de faire du 6L pour çà !)</li>
<li>Le teste à l'iode était positif: tout n'était pas converti. Mais à 90mn de mash, je ne crois pas pouvoir faire grand chose de plus.</li>
<li>Idée en vrac, à voir à la dégustation, mais ajouter un peu de cara pourrait être sympa.</li>
<li>L'irish moss à vraiment bien fonctionné. Je me demande si je ne devrais pas même laisser décanter un peu plus longtemps durant le whirlpool pour avoir un effet encore plus impressionnant.</li>
<li>Je trouve que l'efficacité de cette brasserie est vraiment pourrie.</li>
<li>Un peu d'eau est venue diluer le moût (DI = 1050 au lieu de 1060 souhaité)</li>
<li>Au goût, le moût à vraiment un goût qui m'assèche la gorge. Trop de modifications de l'eau ? A voir si l'effet persiste après fermentation.</li>
<li>A priori, d'après un article de Scott Janish, empâter avec de l'avoine cru ne fonctionne que si on empate haut. Ca à un impact sur l'efficacité générale (2h pour conversion totale, c'est peut-être pour ça que mon teste à l'iode était positif)</li>
<li>Sur l'avoine toujours, il faut <strong>dépasser 18%</strong> pour avoir un côté moelleux. Certains mettent jusqu'à 40% !</li>
</ul>François Elie : Quelle école pour la société de l’information ?2013-06-14T00:00:00+02:002013-06-14T00:00:00+02:00Alexis Métaireautag:blog.notmyidea.org,2013-06-14:/francois-elie-quelle-ecole-pour-la-societe-de-linformation.html
<p><a href="http://www.framablog.org/index.php/post/2013/06/11/francois-elie-education-conference">http://www.framablog.org/index.php/post/2013/06/11/francois-elie-education-conference</a></p>
<p>Quelques bouts selectionnés.</p>
<blockquote>
<p>Mais pourquoi continue t-on à enseigner des maths à des gens qui ne
vont pas les utiliser ? Ben évidemment c’est parce qu’on n’est pas
dans une école de l’initiation où les mathématiciens …</p></blockquote>
<p><a href="http://www.framablog.org/index.php/post/2013/06/11/francois-elie-education-conference">http://www.framablog.org/index.php/post/2013/06/11/francois-elie-education-conference</a></p>
<p>Quelques bouts selectionnés.</p>
<blockquote>
<p>Mais pourquoi continue t-on à enseigner des maths à des gens qui ne
vont pas les utiliser ? Ben évidemment c’est parce qu’on n’est pas
dans une école de l’initiation où les mathématiciens font ça entre eux
et on n’est pas non plus dans une école de l’apprentissage où l’école
a pour but de donner un métier, un bagage utilisable. L’école ne sert
évidemment pas à ça. D’ailleurs heureusement parce que sinon on
n’enseignerait pas la philosophie qui ne sert à rien à part
fabriquer des profs de philosophie !</p>
<p>On n’a pas besoin de tableau numérique pour enseigner l’informatique
elle-même pour enseigner la science. De la même façon on n’a pas
besoin de machine à calculer pour enseigner les mathématiques.
Évidemment ! On n’a pas besoin d’une machine à calculer pour savoir
faire une division. Au contraire, surtout pas !</p>
<p>Il faut cesser d’opposer l’enseignement de la programmation d’une part
et l’enseignement des usages, c’est important mais ça c’est l’école
des maîtres et des esclaves. Ce qu’il faut enseigner, vite et à tous,
c’est la science, pas la technologie ou l’usage. C’est en amont de la
programmation, l’algorithmique. C’est, en amont de telle
instanciation, du codage, du chiffrement, la théorie, quelque chose
qui comme les maths n’ont besoin que d’une craie et d’un tableau noir.</p>
<p>Ce n'est pas un hasard si le mot "numérique" à remplaçé le mot
"informatique", c'est qu'on voudrait nous faire croire qu'il n'y a pas
besoin de l'apprendre.</p>
</blockquote>Notes: Économie libidinale et économie politique2013-06-07T00:00:00+02:002013-06-07T00:00:00+02:00Alexis Métaireautag:blog.notmyidea.org,2013-06-07:/notes-economie-libidinale-et-economie-politique.html
<p>Une enquete d'un cabinet de marketing american ARI qui pour la première
fois en 2004 disait qu'on voyait aparaitre des "alter consommateurs",
qui n'étaient pas de gens qui consommaient moins, mais qui étaient des
gens malheureux de consommer. Et qui définissaient la consommation comme
une dépendance et une addiction.</p>
<p>Un …</p>
<p>Une enquete d'un cabinet de marketing american ARI qui pour la première
fois en 2004 disait qu'on voyait aparaitre des "alter consommateurs",
qui n'étaient pas de gens qui consommaient moins, mais qui étaient des
gens malheureux de consommer. Et qui définissaient la consommation comme
une dépendance et une addiction.</p>
<p>Un autre comportement s'est développé: le modèle "collaboratif et
contributif". Ce modèle ne se repose pas sur la consommation mais sur
l'implication et la collaboration. Ce modèle est induit par internet,
qui ne repose plus sur l'opposition production / consommation.</p>
<p>Sur internet nous ne sommes pas des simples consommateurs, puisque vous
êtes un expéditeur / distributeur.</p>
<p>Le changement prduit par internet est le fait que les gens ne sont plus
simplement des consommateurs,mais sont également producteurs de contenus
/ viennent améliorer les contenus existants.</p>
<p>Note perso: quid du culte de la personalité qui en ressort ? Ce qu'il
apelle l'écologie relationelle ?</p>
<p>Quel est le manque que vient combler facebook par exemple ? Et quel est
l'impact que ces nouveaux réseaux ont sur les modèles relationels que
l'ont connait (famille, école, droit, etc.).</p>
<h2 id="citations">Citations</h2>
<blockquote>
<p>Une révolution c'est le fait de faire une boucle est d'arriver au
terme de quelque chose. D'avoir clôt un cycle. La lune fait des
révolutions aussi.</p>
<p>81% des Américains déclarent que le consumerisme est une plaie pour
l'amérique (d'après Juliet Score)</p>
</blockquote>Le revenu de base2013-03-10T00:00:00+01:002013-03-10T00:00:00+01:00Alexis Métaireautag:blog.notmyidea.org,2013-03-10:/le-revenu-de-base.html
<iframe width="560" height="315" src="http://www.youtube.com/embed/-cwdVDcm-Z0"
frameborder="0" allowfullscreen></iframe>
<p>Quelques notes prises en visualisant le documentaire "le revenu de
base".</p>
<ul>
<li>4 Allemands sur 10 travaillent.</li>
<li>3/10 (les enfants et jeunes)</li>
<li>2/10 retraite / rente</li>
<li>1/10 assurance chomage / AS</li>
<li>41% sont le fruit d'un travail rémunéré.</li>
</ul>
<p>Le revenu de base est inconditionnel.</p>
<p>Le marché du travail ne pourra …</p>
<iframe width="560" height="315" src="http://www.youtube.com/embed/-cwdVDcm-Z0"
frameborder="0" allowfullscreen></iframe>
<p>Quelques notes prises en visualisant le documentaire "le revenu de
base".</p>
<ul>
<li>4 Allemands sur 10 travaillent.</li>
<li>3/10 (les enfants et jeunes)</li>
<li>2/10 retraite / rente</li>
<li>1/10 assurance chomage / AS</li>
<li>41% sont le fruit d'un travail rémunéré.</li>
</ul>
<p>Le revenu de base est inconditionnel.</p>
<p>Le marché du travail ne pourra pas suffire à toute la population. En
refusant l'idée du RDB, on est obligé de croire en la croissance
économique.</p>
<p>Différence entre une approche qantitative du travail VS une approche
sociale.</p>
<p>La croissance éco ≠ croissance de l'emploi.</p>
<p>Parallelle entre le RDB et la déclaration des droits de l'homme. "Et qui
voudra faire le sale boulot ?"</p>
<p>Utopie veut dire le "non lieu", le lieu qu'on à pas encore trouvé ici
sur terre, à part dans notre imaginaire.</p>
<p>Agriculture: Il y à 100 ans, qqn qui travaillait dans l'agriculture
produisait assez pour 3 autres personnes. ajd un agriculteur produit
assez pour 120 personnes, via des machines énormes et à la
rationalisation.</p>
<p>Rationalisation: moins d'emploi.</p>
<p>La condition de pouvoir refuser un travail est très importante.</p>
<h2 id="citations">Citations</h2>
<blockquote>
<p>Le financmenet est acquis, la dificulté c'est la liberté</p>
<p>— NA</p>
<p>Il faut en finir avec cette idée fausse, selon laquelle seul le
travail rémunéré constitue une contribution méritoire à la société, en
réalité, c'est souvent exactement l'inverse.</p>
<p>— Katja Kipping, membre du parlement allemand.</p>
<p>Si les gens on déjà une sécurité matérielle, ils sont plus difficiles
à corrompre.</p>
<p>— Katja Kipping</p>
<p>Soutenir les populations sans poser de condition. c'est un principe
qui à la longe, devra s'imposer. Mais il lui faudra d'abord affronter
les droits et privilèges dont on bénéficie aujourd'hui.</p>
<p>— Anonyme.</p>
<p>Si les revenus étaient uniquement lié au travail, il faudrait donner
les plus hauts revenus aux machines.</p>
</blockquote>
<p>Le sens de l'économie, c'est de libérer l'homme du travail Beaucoup de
gens qui ont une "place de travail", n'ont en réalité qu'une "place de
revenu".</p>
<h2 id="chiffres">Chiffres</h2>
<p>Un sondage à été effectué. La question est: "Si vous aviez un revenu de
base, est-ce que vous iriez encore travailler ?"</p>
<ul>
<li>\~60% disent oui</li>
<li>30% répondent oui, mais plus à plein temps.</li>
<li>10% pour faire autre chose.</li>
</ul>
<p>Avec une question différente:</p>
<p>"Si on instaurait un revenu de base, est-ce que vous pensez que les
autres iraient travailler ?"</p>
<ul>
<li>\~80% répondent non.</li>
</ul>
<p>C'est un changement aussi dans les modes d'éducation, on nous enseigne à
être "employable", et non pas à apprendre quelque chose qui nous
interesse. Les gens ont peur de ne pas trouver du travail.</p>
<h2 id="ressources">Ressources</h2>
<ul>
<li>Le sens commun, Thomas Payne.</li>
<li>Peter Ulrich</li>
</ul>
<h2 id="comment-financer-le-rdb">Comment financer le RDB</h2>
<p>Si l’on se fie à son produit intérieur brut (PIB), la France est
aujourd’hui le cinquième pays le plus riche du monde. En 2010, le
revenu disponible (après versement des pres- tations sociales et
prélèvement des impôts directs) s’y élevait à 1 276 euros par mois et
par personne, adultes et enfants confondus. Nous disposons donc de
ressources suffisantes pour garantir à chaque individu 1 276 euros si
l’on décidait d’opérer un partage strictement égalitaire. C’est
nettement plus que le seuil de pauvreté actuel, fixé en France à 60 % du
revenu médian (1), soit 960 euros par adulte. Qui peut le plus pouvant
le moins, la France a donc sans nul doute les moyens d’assurer à tous
ses résidents un revenu au moins égal au seuil de pauvreté.</p>
<h2 id="a-reculons-par-andre-gorz">À Reculons, par André Gorz.</h2>
<p>(Paru dans le monde diplomatique de Juin 1990)</p>
<p><em>Proche de Jean-Paul Sartre, cofondateur, en 1964, du Nouvel
Observateur, le philosophe André Gorz (1923-2007) s’est converti
progressivement à un écosocialisme dont il est devenu l’un des
principaux théoriciens. En 1990, dans nos colonnes, sous le titre «
Pourquoi la société salariale a besoin de nouveaux valets », il
formulait une critique de l’idéologie du travail qui devait l’amener
quelques années plus tard à se prononcer en faveur d’un revenu
d’existence.</em></p>
<p>Dans l’ensemble des pays capitalistes d’Europe, on produit trois à
quatre fois plus de richesses qu’il y a trente-cinq ans ; cette
production n’exige pas trois fois plus d’heures de travail, mais une
quantité de travail beaucoup plus faible. (...)</p>
<p>Nous sortons de la civilisation du travail, mais nous en sortons à
reculons, et nous entrons à reculons dans une civilisation du temps
libéré, incapables de la voir et de la vouloir, incapables donc de
civiliser le temps libéré qui nous échoit, et de fonder une culture du
temps disponible et une culture des activités choisies pour relayer et
compléter les cultures techniciennes et profes- sionnelles qui dominent
la scène. (...)</p>
<p>Pour près de la moitié de la population active, l’idéologie du travail
est devenue une mauvaise farce ; l’identification au travail est
désormais impossible, car le système économique n’a pas besoin ou n’a
pas un besoin régulier de leur capacité de travail. La réalité que nous
masque l’exaltation de la « ressource humaine », c’est que l’emploi
stable, à plein temps, durant toute l’année et toute la vie active,
devient le privilège d’une minorité. Pour [les autres], le travail
cesse d’être un métier qui intègre dans une communauté productive et
définit une place dans la société. Ce que le patronat appelle «
flexibilité » se traduit pour les salariés par la précarité. (...)</p>
<p>Que doit être une société dans laquelle le travail à plein temps de tous
les citoyens n’est plus nécessaire, ni économiquement utile ? Quelles
priorités autres qu’économiques doit-elle se donner ? Comment doit-elle
s’y prendre pour que les gains de productivité, les économies de temps
de travail profitent à tout le monde ? Comment peut-elle redistribuer au
mieux tout le travail socialement utile de manière à ce que tout le
monde puisse travailler, mais travailler moins et mieux, tout en
recevant sa part des richesses socialement produites ?</p>
<p>La tendance dominante est d’écarter ce genre de questions et de poser le
problème à l’envers : comment faire pour que, malgré les gains de
productivité, l’économie consomme autant de travail que par le passé ?
Comment faire pour que de nouvelles activités rémunérées viennent
occuper ce temps que, à l’échelle de la société, les gains de
productivité libèrent ? A quels nouveaux domaines d’activité peut-on
étendre les échanges marchands pour remplacer tant bien que mal les
emplois supprimés par ailleurs dans l’industrie et les services
industrialisés ?</p>
<p>On connaît la réponse, pour laquelle les Etats-Unis et le Japon ont
montré la voie : le seul domaine dans lequel il est possible, en
économie libérale, de créer à l’avenir un grand nombre d’emplois, c’est
celui des services aux personnes. Le développement de l’emploi pourrait
être illimité si l’on parvenait à transformer en prestations de
services rétribuées les activités que les gens ont, jusqu’à présent,
assumées chacun pour soi. Les économistes parlent à ce sujet de «
nouvelle croissance plus riche en emplois », de « tertiarisation » de
l’économie, de « société de services » prenant le relais de la «
société industrielle » (1). (...)</p>
<p>Le problème de fond auquel nous sommes confrontés est celui d’un au-delà
de l’économie et, ce qui revient au même, d’un au- delà du travail
rémunéré. La rationalisation économique libère du temps, elle
continuera d’en libérer, et il n’est plus possible, par conséquent, de
faire dépendre le revenu des citoyens de la quantité de travail dont
l’économie a besoin. Il n’est plus possible, non plus, de continuer à
faire du travail rémunéré la source principale de l’identité et du sens
de la vie pour chacun.</p>
<p>La tâche d’une gauche, si gauche il doit y avoir, consiste à transformer
cette libération du temps en une liberté nouvelle et en des droits
nouveaux : le droit de chacun et de chacune de gagner sa vie en
travaillant, mais en travaillant de moins en moins, de mieux en mieux,
tout en recevant sa pleine part de la richesse socialement produite. Le
droit, d’autre part, de travailler de façon discontinue, intermittente,
sans perdre durant les intermittences de l’emploi le plein revenu – de
manière à ouvrir de nouveaux espaces aux activités sans but économique
et à reconnaître à ces activités qui n’ont pas la rémunération pour but
une dignité et une valeur éminentes, tant pour les individus que pour la
société elle-même.</p>Habitat collectif2012-12-28T00:00:00+01:002012-12-28T00:00:00+01:00Alexis Métaireautag:blog.notmyidea.org,2012-12-28:/habitat-collectif.html
<p>Habiter à plusieurs, partager un lieu de vie, monter une communauté,
changer nos modes de vie et prendre plus de temps les uns pour les
autres.</p>
<p>Ça fait réfléchir un peu quand même, non ? en tout cas ça marche chez
moi.</p>
<p>Voilà quelques ressources qui peuvent être utiles si jamais …</p>
<p>Habiter à plusieurs, partager un lieu de vie, monter une communauté,
changer nos modes de vie et prendre plus de temps les uns pour les
autres.</p>
<p>Ça fait réfléchir un peu quand même, non ? en tout cas ça marche chez
moi.</p>
<p>Voilà quelques ressources qui peuvent être utiles si jamais vous aussi
ça vous titille:</p>
<ul>
<li><a href="http://www.habicoop.fr/IMG/pdf/Memoire_hbtat_coop_Vaulx-2.pdf">L’Habitat Coopératif : Solution au problème de responsabilisation
sociale des copropriétaires sur la commune de Vaulx en Velin
?</a> -
mémoire REPIQUET Anne 2005.</li>
<li>Un bouquin à lire avec plein d'infos: <a href="http://www.ecosociete.org/t101.php">Vivre
autrement</a> de Diana Leafe
Christian.</li>
<li>…</li>
</ul>Tricot2012-12-28T00:00:00+01:002012-12-28T00:00:00+01:00Alexis Métaireautag:blog.notmyidea.org,2012-12-28:/tricot.html
<p>Puisque j'ai décidé d'apprendre à faire les trucs moi-même, je me mets
au tricot. Et puis y'a aussi tout un symbole derrière: le tricot, c'est
pour les filles, tu sais, un "truc de gonzesse".</p>
<p>Eh bah c'est pas gagné, jte le dis. Pour l'instant j'ai réussi à faire à
peu …</p>
<p>Puisque j'ai décidé d'apprendre à faire les trucs moi-même, je me mets
au tricot. Et puis y'a aussi tout un symbole derrière: le tricot, c'est
pour les filles, tu sais, un "truc de gonzesse".</p>
<p>Eh bah c'est pas gagné, jte le dis. Pour l'instant j'ai réussi à faire à
peu près un rang d'endroit et j'arrive pas à enchainer sur l'envers pour
réussir à faire un point jersey (jersey c'est un rang endroit puis un
rang envers).</p>
<p>Enfin bref, si jamais ça vous botte vous aussi, voila quelques
ressources que j'ai trouvé sur internet (en plus des conseils avisés de
maman chérie™):</p>
<ul>
<li><a href="http://www.youtube.com/watch?v=VcGiBG2BNxo&list=UUskaiVNnKf7amRb5OI5op_w">Montage des mailles
"normales"</a></li>
<li><a href="http://www.youtube.com/watch?v=aIQtNN89pqA&list=UUskaiVNnKf7amRb5OI5op_w">Le point
jersey</a></li>
</ul>
<p>La nana explique plutôt bien et assez lentement. En espérant que ça
prenne.</p>Notre dame des landes2012-12-27T00:00:00+01:002012-12-27T00:00:00+01:00Alexis Métaireautag:blog.notmyidea.org,2012-12-27:/notre-dame-des-landes.html
<p>La lutte à Notre Dame des Landes ne fait pas du tout que commencer, mais
il se trouve que les médias se sont "emparés" de la question que très
récemment, depuis que JM Ayrault s'est retrouvé premier ministre.</p>
<p>Voici une sélection d'articles que j'ai trouvé pertinents, à partir de
décembre …</p>
<p>La lutte à Notre Dame des Landes ne fait pas du tout que commencer, mais
il se trouve que les médias se sont "emparés" de la question que très
récemment, depuis que JM Ayrault s'est retrouvé premier ministre.</p>
<p>Voici une sélection d'articles que j'ai trouvé pertinents, à partir de
décembre 2012:</p>
<ul>
<li>Article dans le monde qui explique la complexité de la lutte sur
place:
<a href="http://www.lemonde.fr/idees/article/2012/12/13/notre-dame-des-landes-une-resistance-qui-ne-se-laissera-pas-dicter-sa-conduite_1805511_3232.html">http://www.lemonde.fr/idees/article/2012/12/13/notre-dame-des-landes-une-resistance-qui-ne-se-laissera-pas-dicter-sa-conduite_1805511_3232.html</a></li>
<li>autour de relations à la presse:
<a href="http://www.rennestv.fr/catalogue/magazine/notre-dame-des-landes-l-inaceptable-interdiction-de-la-presse.html">http://www.rennestv.fr/catalogue/magazine/notre-dame-des-landes-l-inaceptable-interdiction-de-la-presse.html</a></li>
<li>Notre-Dame-des-Landes : un pilote annonce un fiasco pour le futur
aéroport <a href="http://www.bastamag.net/article2866.html">http://www.bastamag.net/article2866.html</a></li>
</ul>Semences paysannes2012-12-20T00:00:00+01:002012-12-20T00:00:00+01:00Alexis Métaireautag:blog.notmyidea.org,2012-12-20:/semences-paysannes.html
<p><a href="http://www.dailymotion.com/video/x5nhq0_les-semences-paysannes_news#from=embed">http://www.dailymotion.com/video/x5nhq0_les-semences-paysannes_news#from=embed</a></p>
<p>A l'heure actuelle, il est interdit pour deux agriculteurs de
s'échangers des semences dans le but d'en revendre la production.</p>
<p>Les états ont crée la propriété interellectuelle pour relancer
l'industrie après les dégats de la guerre et les selectionneurs en ont
profité …</p>
<p><a href="http://www.dailymotion.com/video/x5nhq0_les-semences-paysannes_news#from=embed">http://www.dailymotion.com/video/x5nhq0_les-semences-paysannes_news#from=embed</a></p>
<p>A l'heure actuelle, il est interdit pour deux agriculteurs de
s'échangers des semences dans le but d'en revendre la production.</p>
<p>Les états ont crée la propriété interellectuelle pour relancer
l'industrie après les dégats de la guerre et les selectionneurs en ont
profité en 1960 au sein de l'UPOV pour faire des textes pour s'approprié
les selections qu'ils ont fait. Les textes ont été votés par les députés
depuis: bien prové au lieu de bien collectif.</p>
<p>Les semenciers n'existent que depuis 150 ans. Ils revendiquent
maintenant le monopole de selection.</p>
<p>Un catalogue est prévu pour les semences dites "de conservation" (alors
qu'elles évoluent, conservation n'est pas un terme adapté). C'est la
voie qui est possible pour pouvoir échanger des semences entre
agriculteurs.</p>
<p>→ Quelles sont les semences de conservation depuis 2002 ? → Quid des
semences paysannes, qui évoluent et que l'on garde d'année en année, en
selectionnant les meilleures especes. → Existe-il un autre catalogue ? →
Au niveau européen, quelles sontles contraintes d'inscription ? Gratuité
demandée, qu'en est il ?</p>
<p>→ Relocalistion sur les terroirs des échanges.</p>
<p>→ Biodiversité serait tué par l'utilisation d'espèces inscrites.</p>
<p>Série de vidéos sur la paysannerie:
<a href="http://www.latelevisionpaysanne.fr/video.php?lirevideo=86#86">http://www.latelevisionpaysanne.fr/video.php?lirevideo=86#86</a></p>