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Travail, passion et limites.
Je discutais avec des ami⋅e⋅s brasseurs, cavistes et barmaid du rapport que chacun⋅e entretient avec le travail, et je me suis étonné de voir que notre rapport soit aussi différent.
Notamment, ce que j'estime de prime abord comme un travail acharné peut également être analysé sous l'angle de la passion, voire même être un trait de personnalité « mono-maniaque » qui explique que certain⋅e⋅s mettent le travail avant tout le reste dans leur vie.
J'ai tendance à analyser ça sous l'angle du « travaillisme » : trouver une certaine forme de fierté au fait de travailler beaucoup (voire trop, selon ma conception personnelle)
Je me rends compte que, de mon côté, je n'ai pas qu'une seule passion, mais plusieurs, et me pose la question de l'incidence de ces multiples passions sur ma volonté de créer un emploi qui me laisse du temps libre pour pouvoir les vivre toutes.